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Statut et publication...

Parce que ce n'est pas le tout d'écrire. Une fois que le roman est prêt, pourquoi le cacher au fond d'un tiroir ? Il faut le faire lire pour qu'il prenne son envol et qu'il vive enfin. Car il n'y a rien de tel que de faire lire ce que l'on écrit et de recevoir des avis.

Quel système d'édition ?

Quand on commence à écrire, on se dit qu'on trouvera un éditeur. Et lorsque notre premier roman est fini, on commence à l'envoyer aux maisons d'édition. Bien évidemment, la fierté d'avoir terminé un roman et le rêve de le voir vendu dans les librairies nous pousse à l'envoyer chez les grands éditeurs comme Albin Michel, Gallimard, Bragelonne... 

Les grands éditeurs

Certains auteurs auront la chance d'attirer le regard de ces grandes maisons et de se voir proposer un vrai contrat d'édition. Mais pour la majorité des auteurs, le rêve se désagrège petit à petit lorsqu'on reçoit les courriers types de refus... voire aucune réponse.

 

Alors, on se tourne vers de plus petits éditeurs ou des éditeurs dont on a vu la publicité sur les réseaux sociaux. Et là, ô joie, ô bonheur ! 

"Nous serions ravis de compter votre roman dans notre catalogue..."

Alors on fonce ! Et là, trois possibilités :

Petit éditeur sérieux

Vous signez avec des droits d'auteurs classiques et l'éditeur fait un beau boulot de mise en page, de correction... Bref, vous êtes tombé sur une perle et l'éditeur vous propose même des salons. Il y en a, ça existe. Spécialisés ou généralistes, ils n'ont pas l'armada des grands éditeurs, mais ils prennent au sérieux leurs auteurs et leurs lecteurs et proposent de vrais service d'édition. 

Petit éditeur moins sérieux

Vous signez avec des droits d'auteurs classiques et l'éditeur vous livre un roman plus ou moins bien finalisé... et il ne fait aucune promotion, aucune mise en place, aucun salon... Bref, vous allez devoir vous débrouiller pour faire la promo de votre livre et le vendre. Alors, relevez vos manches et prospectez les salons et les libraires !

Édition à compte d'auteur

Vous signez un contrat dans lequel vous payez 1 000, 2 000, 5 000€... et l'éditeur vous assure que vous allez rentabiliser rapidement. Mais ce n'est pas pour autant qu'il vous propose des salons, fait de la promotion...

Le compte d'auteur est plus ou moins déguisé. Certains vont le clamer haut et fort. D'autres vont se présenter comme des "éditeurs participatifs"... Mais ne vous laissez pas abuser. Ces pseudo-éditeurs ne prennent pas votre roman pour ses qualités et l'argent qu'il va leur rapporter, mais pour l'argent que vous allez leur donner avant la publication. Il est même parfois très difficile de récupérer les droits de votre livre si vous voulez partir de chez eux.

Bref, soit vous avez trouvé un bon éditeur, soit vous vous faites avoir. Comment éviter ça ? Eh bien en se renseignant auprès des auteurs édités par ces maisons d'édition. Farfouillez sur le net, sur les forums d'écriture. Vous trouverez de nombreuses informations sur les éditeurs et sur leur mode de fonctionnement.

Enfin, vous pouvez faire un autre choix.

L'autoédition

Ce système a longtemps été décrié. Il y a quelques années, les auteurs autoédités étaient considérés comme des auteurs ratés dont personne n'avait voulu et qui pourtant ne lâchaient pas l'affaire... Aujourd'hui, la vision sur les autoédités a beaucoup évolué pour plusieurs raisons.

  • La Covid : Ne nous voilons pas la face, ça a aidé. Pourquoi ? Parce que quand la Covid a frappé, les gens se sont retrouvés à devoir s'occuper et beaucoup se sont mis à écrire ou à prendre le temps de travailler leurs idées. Et les éditeurs se sont retrouvés surchargés, au point de fermer leurs réceptions de manuscrits. Alors, les auteurs qui voulaient vraiment sortir leurs livres se sont dirigés vers des plateformes d'autoédition. C'est ce que j'ai fait pour mon second roman.

  • Internet : Eh oui, la toile est une source d'informations immense et on peut désormais accéder à tous les services qui permettent de créer un livre et de l'éditer. Correcteurs, mise en page, impression, vente... Tout peut se faire depuis votre ordinateur personnel.

  • Accroissement de l'offre : Le nombre de romans autoédités peut facilement concurrencer le nombre de romans édités. Bien évidemment, certains auteurs seront plus ou moins sérieux et feront plus ou moins un vrai travail de correction ou de mise en page. Mais on trouve de plus en plus le même problème chez les éditeurs classiques car certains rognent sur les coûts et parfois ça se ressent fortement.

  • Promotion par les éditeurs : Non, vous ne rêvez pas. Certains éditeurs font une promotion discrète de l'autoédition puisqu'ils incitent les auteurs qui les contactent à commencer par ce biais. Pourquoi ? Parce que l'autoédition est devenu un vivier qu'ils surveillent et dans lequel ils vont aller piocher les perles qui se démarqueront.

  • Promotion par les grands auteurs : Certains auteurs bien installés chez de grands éditeurs sont déçus de ces partenariats et décident de mettre fin à leurs contrats pour se tourner vers l'autoédition et retrouver une certaine dose de liberté. C'est un phénomène encore marginal mais qui montre que le système évolue.

Mon parcours d'édition...

J'ai bien évidemment commencé par viser les grands éditeurs. En fait, dès l'âge de 13 ou 14 ans, j'ai même tenté de faire appel à l'agent littéraire de J.K. Rowling ! Bien évidemment, ça n'a rien donné, mais ils ont tout de même eu la gentillesse de répondre au courrier que je leur avais envoyé. 

Lorsque j'ai fini mon premier roman, je l'ai envoyé aux grands noms de l'édition, sans succès. Puis j'ai visé les petits éditeurs pour découvrir le piège du compte d'auteur dans lequel je ne suis pas tombée.

Édition classique... vraiment ?

Et mon roman a finalement été accepté par Mon Petit Éditeur, présenté comme la branche à compte d'éditeur du groupe Publibook en 2014. Mais en guise d'éditeur, je suis tombée sur un publicateur. La correction ? Un passage dans un logiciel qui me rajoutait des fautes en raison du manque de contrôle humain derrière... La couverture ? J'ai préféré fournir une illustration de mon choix car je savais ce que je voulais. La promotion ? Nada ! Le seul avantage que j'avais, c'est qu'ils acceptaient les retours des libraires à la fin des séances de dédicace...

Bref, la timide jeune femme entrant dans le monde du travail que j'étais a dû prendre sur elle. J'ai commencé à démarcher les libraires avec plus ou moins de succès : Merci à la Maison de la Presse de Lamorlaye pour m'avoir permis de réaliser ma toute première séance à la sortie de mon roman, merci à l'enseigne Cultura d'avoir joué le jeu et de m'avoir accueilli plusieurs fois, merci à la Librairie Graines de Mots de Chevrières qui a donné sa chance à mon roman et m'a permis de développer mon réseau et de participer à des salons.

Librinova

En 2020, le grand choc Covid... Alors que je cherchais un éditeur pour mon second roman tout s'est arrêté. Comme j'avais reçu plusieurs mails d'éditeurs m'invitant à aller chez Librinova pour qu'ils suivent mon roman, j'ai décidé de tester.

Globalement, je ne peux pas dire que j'étais mécontente de leurs services. Ils sont agréables, réactifs et ils font un beau boulot de mise en page. Mais il faut vraiment prendre bien le temps de vérifier la maquette intérieure car il y a souvent des bugs.

Et leur concours "Prix des étoiles" fait rêver malgré tout puisqu'on peut gagner un contrat d'édition avec un vrai éditeur.

Mais après trois ans auprès d'eux, sans réel avantage, le renouvellement annuel des romans commence à peser sur le porte-monnaie, surtout quand on veut en écrire plusieurs.

Mais le système de l'autoédition me plaisait beaucoup finalement car il m'offre une vraie liberté dans l'écriture et dans la gestion de mes publications, de mes ventes... Alors j'ai décidé de poursuivre dans cette voie.

J'ai donc fait des recherches comparatives et j'ai finalement choisi une autre plateforme.

Bookelis

Principe semblable à Librinova, mais beaucoup moins cher et avec beaucoup moins de promotion. Les avantages ?

  • Je peux réaliser moi-même la maquette de mon livre, aussi bien intérieure qu'extérieure, grâce à leurs logiciel de création et à leurs modèles intérieurs.

  • Liberté d'impression puisque je peux continuer d'imprimer mon livre chez l'imprimeur que je choisis pour mes exemplaires de salons.

  • Accès au réseau Hachette mondial.

  • Système de fidélisation des auteurs avec des prix dégressifs annuellement et une offre 2 romans publiés, le 3e offert.

Bref, désormais, je suis satisfaite de la voie que j'ai prise et du système que j'ai choisi. Alors, je vais poursuivre dans cette voie. Mais je garde malgré tout un petit espoir de voir un jour un grand éditeur me dire que mes livres l'intéressent... Sait-on jamais !

Artiste-Auteure : un statut à part entière !

Vient ensuite la grande question : comment dois-je déclarer mes revenus d'auteure ?

Rassurez-vous ! Si vous ne faites pas beaucoup de ventes, vous pouvez déclarer vos petits droits d'auteur ou vos petits bénéfices dans les BNC sur votre déclaration d'impôts classique.

En revanche, si vous souhaitez développer votre activité, il faut prendre des mesures un peu plus développées. Plusieurs choix s'offrent alors à vous si vous êtes en autoédition : statut d'artiste-auteur ou création de micro-entreprise.

Personnellement, j'ai choisi d'ouvrir un statut d'artiste-auteur. J'ai découvert son existence en 2023 pendant mes recherches. Et j'ai appris que depuis 2021, ce statut permet aux auteurs autoédités de se déclarer auprès des organismes officiels et de déclarer aussi bien leurs revenus en droits d'auteur, en ventes que leurs dépenses.

Là encore, différents choix s'offrent à vous en fonction du chiffre d'affaires que vous réalisez, de vos objectifs... 

Comme je souhaitais développer et professionnaliser mon activité artistique, voici les choix que j'ai fait :

  • Déclaration frais réels ou micro-BNC ? J'ai choisi les frais réels en déclaration contrôlée. Cela demande de tenir un livre de compte et d'être rigoureux, ainsi que de faire une déclaration détaillée auprès des impôts. Mais je peux ainsi déclarer la quasi-totalité des frais liés à mon activité d'auteure : frais de repas, achats de matériel promotionnel, achats de livres pour la revente, achats de prestations de promotion et de création, frais kilométriques pour mes déplacements en salons ou en événements, frais de logiciels... Et je déclare en face mon chiffre d'affaires de ventes et mes droits d'auteurs. Ainsi, je ne suis imposée et je ne paye des cotisations que sur le bénéfice positif que je réalise. Autant vous dire qu'au début de l'activité, les dépenses sont plus importantes que les revenus... En micro-BNC, vous devez déclarer votre chiffre d'affaires et vous avez un abattement en pourcentage. Vous payez des impôts et des cotisations sur la différence. Et si vos charges réelles sont plus élevées, eh bien tant pis pour vous !

  • Franchise de TVA ou règlement de la TVA : Pour le moment, je suis en franchise de TVA. Je n'ai donc pas à la déclarer, mais je ne peux pas non plus la récupérer sur mes achats professionnels. Mais comme c'est un sujet compliqué et que je n'ai pas un chiffre d'affaires trop important, je peux pour le moment rester en franchise de TVA.

Le statut d'artiste-auteur permet également d'obtenir un numéro SIRET, élément indispensable et obligatoire dans un cadre légal pour émettre des factures et vendre en ligne.

Toutes les démarches se font en ligne, c'est désormais très simple. Si vous avez des doutes, les sites officiels du gouvernement peuvent répondre à la majorité des questions et il est même possible de trouver des sites détaillant la marche à suivre pour ouvrir son statut. 

Enfin, si vous avez des questions, le meilleur conseil que je puisse vous donner est : appelez directement les organismes concernés. Prendre ses informations à la source est toujours la méthode la plus sûre !

Et petit conseil bonus : si vous décidez d'ouvrir un statut d'artiste-auteur, faites-le plutôt sur le premier semestre de l'année. Les démarches de validation peuvent prendre plusieurs semaines et cela vous permettra de pouvoir bénéficier d'un avantage important auprès de l'URSSAF Limousin (la branche URSSAF pour les auteurs) : vous pourrez demander une modulation de vos cotisations à 0€ et ne pas payer de cotisations en avance alors que vous n'avez pas encore eu de revenu d'auteur.

Si vous avez fait votre ouverture trop tard et que vous recevez un avis de paiement de cotisations, pas de panique : contactez l'URSSAF et demandez un étalonnement de vos règlements. Ils sont très compréhensifs. L'année suivante, si vous déclarez un bénéfice négatif, vous recevrez le remboursement de ce que vous aurez payé en avance pour rien.

Les séances de dédicaces...

Vous avez sorti votre livre et vous êtes prêt à le vendre ? Très bien ! C'est le moment de se lancer dans le grand bain !

Démarcher les libraires indépendants :

Il ne faut pas se leurrer, c'est la partie la plus compliquée. Et il y a deux raisons principales à cela si vous êtes en autoédition ou chez un petit éditeur :

  • Les libraires ont une santé financière un peu fragile : Ils ne peuvent donc pas prendre en stock les livres de tous les auteurs qui se présentent et les mettre en rayon. En revanche, vous pouvez proposer d'amener vos livres ou que votre éditeur reprenne les invendus s'il propose cette prestation. 

  • Les libraires sont débordés : Vous avez vu le nombre de livres édités qui sortent à chaque sortie littéraire ? Et le nombre d'auteurs indépendants qui existe ? Les libraires n'ont pas forcément le temps de s'intéresser aux petits auteurs et parfois, le fait d'être en autoédition les fait reculer. Mais les mentalités évoluent petit à petit et les libraires s'ouvrent aux indépendants. Il faut juste un peu de patience avec eux.

Démarcher les enseignes culturelles et supermarchés :

Vous pouvez décrocher des séances de dédicaces dans des magasins Cultura, Fnac mais aussi dans les enseignes de grande distribution comme Leclerc, Carrefour, Coopérative U... Même principe qu'avec les libraires mais ils sont ouverts depuis bien plus longtemps à l'intégration des auteurs indépendants, surtout quand ce sont des auteurs locaux. 

Les salons du livres, marchés de Noël ou locaux et conventions :

Il faut tout simplement contacter les organisateurs. Vous pouvez trouver leurs coordonnées sur les réseaux sociaux, sur google, sur des sites qui recensent les salons de votre région ou au niveau national. Il en existe de plus en plus. Certains événements vous demanderont plus de persévérance que d'autre pour réussir à y participer. Mais vous trouverez également nombre de salons dans lesquels vous pourrez vous inscrire en cours d'année et même au dernier moment.

N'hésitez pas et demandez s'ils ont de la place ou s'ils peuvent vous réserver une place pour l'année suivante dans le cas contraire.

Avantages et inconvénients ?

Les séances de dédicaces en librairie ou magasin :

Avantages : Vous êtes seul ou au pire avec un autre auteur. Même s'il y a d'autres livres à acheter dans la boutique, vous êtes présent pour parler de votre livre et faire une dédicace.

Inconvénient : Démarcher et convaincre les bonnes personnes de vous faire une petite place dans la boutique pour vendre. Vous devrez aussi accepter de faire une remise au commerçant si vous amenez vous-mêmes vos livres. Il faut généralement compter entre 20 et 30% du prix de vente à céder au commerçant.

Les salons, marchés, conventions :

Avantages : Beaucoup plus accessibles que les libraires. Vous conservez généralement l'intégralité du résultat de vos ventes (sauf dans le cas où il y a une caisse centrale ou le passage obligatoire par un libraire). Vous pouvez également rencontrer de nombreux autres auteurs et échanger avec eux, créant et développant ainsi votre réseau professionnel artistique. Des organisateurs d'autres événements viennent également prospecter pour trouver de nouveaux participants à leurs futurs salons.

Inconvénients : Plus les auteurs sont nombreux sur un salon, plus il est compliqué de faire des ventes importantes. Le budget des lecteurs n'est pas extensible et ils doivent faire des choix. Le salon ne sera pas forcément rentable surtout si vous avez des frais de déplacement importants, des frais de repas ou des frais d'inscription. Alors, voyez les salons comme un investissement sur le long terme pour vous faire connaître. Et enfin la manutention : vous devez amener vos livres si vous ne passez pas par un libraire et penser à bien vous équiper pour les ventes et la décoration de votre stand.

Promotion hors dédicaces...

Autre élément à prendre en compte : la promotion en dehors des événements.

C'est un travail de longue haleine et qui prend du temps. Vous devez être présent sur les réseaux sociaux, annoncer vos salons et séances de dédicaces. Vous devez parler de vos livres, de vous, de vos projets... Bref, c'est là encore un métier à part entière : la communication !

Mais faites les choses petit à petit. 

Ouvrez votre page d'auteur sur les réseaux sociaux que vous aimez et maîtrisez.

Puis créez votre site ou votre blog. Pas besoin de commencer par un site payant à la création. Vous pouvez débuter par une création gratuite et le développer après. Le tout, c'est de prendre un peu de temps régulièrement pour le mettre à jour.

Il existe des formations pour apprendre à communiquer avec les médias modernes. Je pense en suivre une aussi dès que j'aurai un peu de temps.

Contactez également des journaux locaux pour présenter votre travail. Vous pourrez ainsi décrocher des encarts voire des articles complets dans des journaux locaux et même nationaux. 

Si vous arrivez à faire lire votre livre par des influenceurs bien ciblés, cela peut vous aider à développer votre lectorat.

Enfin, n'hésitez pas à rejoindre des groupes de discussion entre auteurs, auteurs/lecteurs... Pas mal de groupes acceptent les promotions faites par les auteurs si elles respectent bien les conditions de publication de leurs pages.

Là encore, c'est un investissement car vous ne verrez probablement pas le résultat de vos efforts immédiatement. Mais plus vous serez visibles sur la toile, plus les lecteurs se souviendront de vous et pourront être tentés.

Petit conseil : Restez courtois, même si un lecteur n'a pas aimé votre livre. Vous ne pouvez pas plaire à tout le monde. Et ce n'est pas parce qu'une critique est négative ou mitigée qu'il s'agit d'un hater professionnel. Gardez à l'esprit que tout le monde n'a pas les mêmes goûts que vous !

Personnellement, j'apprécie de pouvoir discuter avec les lecteurs, même ceux qui n'ont pas aimé mes livres. Car ainsi je peux comprendre ce qui n'a pas fonctionné dans l'histoire et essayer de m'améliorer si c'est un point à changer dans la méthode d'écriture.

​Et le site de vente en ligne ?

Vous n'êtes pas obligé d'en faire si c'est ce qui vous inquiète. Mais ça peut être un bon moyen pour toucher vos lecteurs. Ainsi, s'ils ont du mal à se procurer vos livres auprès des libraires, ou qu'ils n'aiment pas certaines plateformes de vente en ligne, c'est une alternative intéressante. D'autant plus que vous pouvez dédicacer vos livres avant de les envoyer !

 

Aujourd'hui il existe des méthodes simples pour créer des boutiques en ligne. Si vous avez investi dans un appareil de paiement de type Sum Up par exemple, vous pouvez créer une boutique en ligne directement et la relier à votre site internet.

 

Attention cependant, pour vendre en ligne, vous devez fournir une facture à vos clients. Et qui dit facture dit numéro de SIRET obligatoire. Donc pensez bien à ouvrir votre statut avant de vendre en ligne ! 

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